Zea

Nom : Elle n'en a pas.

Prénom : Zea

Age: 19 ans

Sexe : Féminin

Race: Humaine

Profession: Chef des puissances insoupçonnées de Xenos, les espions et assassins. Malgré ça elle est reconnue parmi les plus puissants, tel que les capitaines et général des planètes.

Planète: Xenos

Description physique :
- Cheveux: Elle a des longs cheveux... Ils sont immensément fins et quand on passe sa main dans ses cheveux lâchés, on a l'impression de mettre la main dans un ruisseau coulant tranquillement. D'une couleur gris clair, la couleur n'a pas l'air naturelle et lui donne sans le vouloir une impression d'irréel. Séparés en plusieurs tresses et tirés en arrière, la coiffure a l'air d'avoir été soigneusement préparée alors qu'en fait Zea ne les tresse qu'une fois qu'elle a pris un bain, sinon elle n'y touche pas, se plaçant naturellement. Sa chevelure est en général excentrique mais d'une douceur sans égale qui reflète malheureusement bien mal sa personnalité.

- Yeux/regard: Deux grands yeux. Deux yeux d’enfant. Deux yeux qui devraient normalement être innocent mais qui contiennent ... tant de tristesse ... tant de souffrance... D’un noir envoûtant, ces deux yeux font penser sans le vouloir à deux charbons fondus et plantés dans son visage. Ce ne sont pas des yeux doux ou compréhensifs, au contraire... Ils possèdent toute la colère et la haine que ressent, sans qu’elle ne puisse rien y faire, Zea pour les autres en général. Autant les puissants que les faibles. Tristesse ... souffrance ... peine ... haine ... colère... Tant d’émotions dans deux yeux qui ne sont jamais heureux et qui révèlent la vraie nature profonde de Zea. Peu de personnes arrivent à soutenir son regard et pour cause, la jeune femme n'utilise son regard que pour bien appuyer un ordre mais la plupart du temps, elle fuit les regards des autres.

- Taille/ Corpulence: Sans passer pour la grande de service, car c'est très gênant d'être le géant du coin, elle reste plutôt dans la moyenne pour son âge, ayant grandi comme une personne plus ou moins normal. Elle fait 1,72m. Sa façon de se tenir, son corps et ses mouvements trahissent une souplesse peu commune. Sa musculature est peu développée par la force, mais aucune esquive, aucune acrobatie n’a de secret pour elle. Plutôt maigre, peut-être que cela a une influence sur sa rapidité, ses formes sont néanmoins mises en évidence. Elle se tient droite et fière lorsqu'elle est en compagnie de personnes importantes ou intéressantes, mais lorsqu'elle travaille, elle se tient de façon à rester discrète à tout point de vue. Talent très utile lorsqu'elle vient de commettre une erreur en public. Le summum du désir humain : disparaître lorsqu'un problème se présente

- Couleur de peau: Une peau d'une teinte blanche sans pareille, dont la texture n’est pas sans rappeler celle d’un nourrisson… Lisse, douce comme une pêche et agréablement tiède…

- Signe distinctif: Elle a un énorme tatouage de la couleur du sang qui débute à son oeil droit passe sur sa poitrine, continue sur son épaule pour finir sur son dos. Etrangement ce tatouage ressemble à une longue erraflure.

- Autre... Une cicatrice qui sépare son dos, en forme de croix.

Caractère :
- Général: Zea tient bien son nom. D'un caractère explosif, elle se laisse difficilement narguer et a plutôt les nerfs à fleur de peau. Beaucoup disent que c'est un avantage comme elle est dans l'armée, mais avouons qu'elle fait souvent des bêtises à cause de ça, se basant sur ses impulsions plus que sur des décisions réfléchies. Ce n'est pas pour ça qu'elle ne réfléchit pas. Enormément responsable quand il s'agit de prendre une décision pour quelqu'un d'autre qu'elle-même, elle pourrait prendre une éternité à réfléchir et à calculer le pour et le contre. Au fond, elle est très gentille, mais la douleur et la tristesse a enfoui ce comportement qu'elle ne "délivre" que très rarement lors d'une trop grande émotion ou quand elle est avec un ami. La plupart du temps elle reste sérieuse, je dis bien la plupart du temps car à peine quelqu'un l'embête un petit peu que Zea réagit au quart de tour. Elle se bat pour un rien et personne ne connaît les vraies raisons de sa haine mais ce qui est sûr, c'est qu’elle donne des ordres avec une poigne de fer et que très peu de personnes arrivent à la faire changer d'opinion. Elle ne recule devant rien et ne possède qu'une seule peur qu'elle garde secrète.
Court résumé (pour mieux illustrer mes propos incohérents): Nerfs à fleur de peau, inflexible, impulsive, réfléchie et responsable quand il s'agit des autres, gentille mais seulement pendant une trop grande émotion ou avec un ami, sérieuse et courageuse.

- Ce qu'elle aime: Peu de choses. Elle aime dessiner, c’est une de ses passions. Elle adore se battre. Courir, faire des acrobaties, esquiver, tout ce qui concerne les épreuves physiques est pour elle une source de joie et de détente. Elle aime aussi rester pendant des heures dans un endroit calme sans rien dire pour se retrouver en paix avec elle-même.

- Ce qu'elle n'aime pas: Les mensonges, elle a horreur de ça. Ensuite les manipulateurs. Qu'y a-t-il de paire que de se rendre compte qu'on avait été qu'un vulgaire pion dans un jeu beaucoup plus important ? Pour elle, rien. Et pour finir... qu'on lui donne un surnom. Qu'il soit flatteur ou pas, elle hait cette façon horripilante qu'on les gens de qualifier les autres. Un surnom... Et puis quoi encore ?!

- Peur: vous n'allez peut-être pas le croire, mais Zea le général d'une armée entière crève de trouille devant un crapaud ou une grenouille. Pas commun, n'est-ce pas ?

- Tic: Quand elle est énervée ou gênée, son sourcil droit remonte et descend nerveusement. A part ça, elle a la mauvaise habitude de se frotter la nuque quand elle réfléchit ou qu'un problème se présente, quel qu'il soit.

- Autre... //

Histoire :
- Membres de la famille:

• Un demi-frère: Sora. Avant l'arrivée de Zea, Sora avait tout d'un petit garçon mignon et gentil. D'une intelligence plus fine que sa mère, il faisait partie des meilleurs élèves de son école primaire. Les études lui plaisait et il s'imaginait qu'elles lui permettraient d'obtenir une place moins ingrate que sa mère, celle d'employé par exemple… -l'exploit auquel il veut atteindre *_*- Seulement, la naissance de sa soeur réduit à néant ses maigres espoirs. Sa mère étant absente la plupart du temps, il fut contraint d'abandonner l'école à neuf ans pour s'occuper du nouveaux-né et cet événement le frustra tant qu'il en devint détestable… avec Zea en tout cas… Il est aujourd'hui technicien, époux d'une ouvrière, père d'une petite fille. Tous les dimanches, Sora rend visite à sa mère, en revanche, il refuse tout contact avec sa soeur…
  
  
• Une mère: Ayami. Ayami était une femme adorable et courageuse, bien qu'un peu naïve. Très jeune, elle crut trouver le bonheur avec l'homme, un ouvrier, qui lui donna son premier enfant, Sora, mais celui-ci l'abandonna au bout de quatre ans de vie commune pour épouser quelques mois plus tard leur voisine de pallier… Son cœur en fut brisé, et ses jours se retrouvèrent menacés car la pauvre femme n'avait jamais travaillé. Déjà étiolée par la dureté de sa vie, sans aucun espoir d'avenir, elle décida de rester pour donner une chance à son petit garçon. Plutôt que de l'abandonner ou le laisser mourir de faim, elle s'engagea dans une profession aussi basse que sa condition : la prostitution. Ses revenus très irréguliers, très incertains lui donnaient juste de quoi se sustenter et, dans de telles conditions, il lui fut impossible de trouver un meilleur emploi… D'autant plus qu'elle ne voulait pas que son fils, tout comme sa fille plus tard, entre trop tôt dans le dur monde du travail... La naissance "accidentelle" de Zea n'arrangea rien. Et pourtant, elle l'aima autant que son fils. Elle l'aima. Aujourd'hui, ce sentiment n'est plus car sa raison l'a quitté à la suite à un événement tragique. Depuis, la pauvre Ayami finit ses jours dans un asile psychiatrique…
  
  
• Un père: Inconnu. Probablement un client d'Ayami et un descendant du peuple de Xénos. Nous n'en saurons jamais plus…

- Histoire:
Alors qu'au dehors la neige recouvrait la misère des rues, au cœur d'un imposant ghetto de prolétaires, ses yeux vermeils s'ouvrirent pour découvrir l'abominable décor qui risquait de la suivre toute sa vie… Dans une pièce de trois mètres sur deux se tassaient les misérables membres de la famille : une jeune femme seule à la charge de ses deux enfants, Zea et Sora. Peu de meubles, mais suffisamment pour réduire l'espace libre à moins d'un mètre carré, reposaient sur le sol bétonné de ce misérable appartement… Si misérable qu'on y dormait à même le sol. Un vieux drap élimé remplaçait le matelas tandis qu'une couverture rêche et rongée par les mites apportait une bien faible source de chaleur. Une petite table branlante accompagnée de chaises tellement usées qu'elles s'affaissaient se dressait au milieu du logement et semblait sur le point de s'effondrer… Le coin cuisine se réduisait à une étroite cheminée et à un évier de pierre qui n'avait pas la chance d'accueillir l'eau courante…
C'était dans ce "trou à rats", dont le loyer dépassait presque les moyens de la malheureuse Ayami, que devait grandir la délicate Zea, une enfant non désirée, issue d'un père inconnu… Mais que voulez-vous, cela faisait parti des aléas du métier de sa mère… Et cette brave femme, qui malgré ses vingt-quatre ans était déjà très aigrie, se promit d'élever sa fille du mieux qu'elle le pourrait, passant outre son apparence étrange, passant outre les commentaires injurieux de son entourage…
Sora, en revanche, ne jugea pas cette "nouvelle venue" digne de son affection et, même si il se garda d'en dire mot à sa mère, dont il ne voulait troubler ce bonheur simple qui l'écarta légèrement de ses soucis quotidiens, il se rangea bien vite du côté de l'opinion publique. Le fruit des mauvaises mœurs d'une femme devait être abandonné, surtout lorsqu'on ne possédait pas assez d'argent pour subvenir aux besoins de son autre enfant, surtout lorsque le bébé en question possédait les yeux d'un démon... Conserver l'enfant d'une naissance indigne aux dépends de l'autre était honteux. Oui, il trouvait les médisances du voisinage parfaitement justifiées. Comment pouvait-on ne pas voir un signe de mauvais augure dans les prunelles rouge sang du nourrisson ? Et qui allait s'en occuper pendant que sa mère s'absentait une partie du jour et une partie de la nuit dans l'espoir de rassembler suffisamment d'argent pour permettre à sa petite famille de survivre un jour de plus ? Pendant qu'elle passait son maigre temps libre à dormir tant l'existence qu'elle menait l'exténuait ? Sora, bien sûr ! A neuf ans, il allait devoir abandonner l'école et remplacer sa mère. Cette mère qu'il réclamait encore et dont il pleurait souvent l'absence, seul entre les quatre murs étroits et sinistres qui lui servaient de logement…
Tout ceci, le petit garçon s'en rendait bien compte. Il s'en rendait compte et il ne l'acceptait pas. De quel droit un enfant étrange, né d'une union obscure le privait-il d'avenir ? De l'attention de sa mère ? (car le peu de temps qu'elle lui accordait allait s'en retrouver réduit). La révolte, la frustration et la fureur l'enflammaient. Il haïssait ce bébé innocent et cette haine le conduisit même à souhaiter sa mort prématurée. Ce type de drame était courant après tout… Une scarlatine ou une petite vérole pourrait régler définitivement le "problème"… Mais la perte attristerait sa mère et im ne le voulait pas. Ainsi, Sora se soumit, et feignait l'amour fraternel en sa présence. Hélas, il n'en était rien en son absence…

Bien que Zea ne puisse s'en souvenir, ses joues de nourrisson furent souvent alimentées par les larmes. Son frère ne cessait de la brutaliser, autant physiquement que verbalement. Il oubliait volontairement de la nourrir et le passage du temps n'arrangea rien. Chaque jour, le pauvre enfant subissait le mauvais traitement de Sora en attendant le retour de sa gentille maman. Là, son frère l'ignorait et elle pouvait souffler un peu en profitant de ses mots doux et de ses caresses affectueuses… Contrairement aux craintes de son fils, Ayami aimait ses enfants sans préférences particulières et ne s'occupait pas de l'un plus que de l'autre.
Ce constat n'arrêta pourtant pas le petit garçon. Il détestait Zea. Pourquoi ? Parce qu'il vivait, et rien de plus. Sa conscience lui disait qu'elle méritait de souffrir. Quel malheur pour une petite fille qui n'avait que son amour à offrir et qui, dans sa pureté d'âme, ne demandait que le bonheur des autres… Et le bonheur ne rayonnait pas dans son quartier, sur le visage des gens qui l'habitaient, sur celui de sa mère et de son frère… Le bonheur fuyait son foyer. Il la fuyait lui même mais c'était sans importance. Elle pouvait bien crouler sous le poids du malheur si cela pouvait rendre le sourire à sa mère qu'elle aimait tant, à son frère qu'elle aimerait quoi qu'il fasse, parce qu'il était son frère, parce qu'il souffrait sans doute autant qu’elle… Si Sora le frappait et l'injuriait tous les jours, c'était sans doute qu'elle le méritait. Comme il ne se lassait de le lui répéter, sa naissance n'était qu'un accident, personne n'avait voulu d’elle et tous ne souffriraient pas autant de la misère si elle ne s'était pas entêtée à vivre…
« - Des bébés meurent tous les jours, même chez les plus riches. Et tous les jours, des familles les pleurent. Mais toi, le seul marmot que personne n'aurait regretté, tu es encore là ! Tu es toujours là ! Pire qu'une tique tu t'es accroché à la vie et tu as étouffé la mienne et celle de maman ! Mais ça, elle ne te le dira pas. Et tu sais pourquoi ? Parce qu'elle est trop gentille. Parce qu'elle a pitié de toi ! Ne va surtout pas t'imaginer que c'est par amour qu'elle t’a gardé ! »
Zea avait alors cinq ans. Ces paroles furent parmi les plus dures que son frère lui eut adressées. Si dures qu'elle s'en souvient encore mot pour mot. Elle avait beaucoup pleuré ce jour là, allant jusqu'à s'excuser auprès de Sora entre deux sanglots. Mais s'excuser de quoi ? D'être née ? De ne pas avoir eu la (mal)chance de contracter une maladie infantile ? Tout ceci ne pouvait dépendre d’elle… Alors si se défouler sur elle pouvait soulager son frère, évacuer son désespoir, qu'il continue. De toute façon, quoi qu'elle fasse, il ne l'aimerait jamais. Jamais… Et si elle pleurait, elle ne se plaignait pas, elle ne bronchait pas. Pour l'amour de son frère, elle se sacrifierait. Pour l'amour de sa mère, elle se tairait car elle savait qu'elle serait brisée si apprenait que son fils maltraitait sa fille.

Hélas, un soir de février, un drame sans précédent se produisit. Alors qu'elle se trouvait dans l'appartement avec sa mère, un homme du ghetto, qui avait dû être un client d’Ayami, entra complètement ivre dans l'appartement. L'inquiétude gagna aussitôt Zea, aucun homme n'était jamais entré dans le logement sans y avoir été convié. Le regard de sa mère confirma ses craintes. La terreur la figeait… L'éthylique débilita un flot de paroles incoercibles et injurieuses. La jeune fille ne douta pas un instant du caractère injustifié de sa colère. Il devait sortir d'une taverne et avait sans doute ressenti le besoin de se défouler un peu avant de s'écrouler lamentablement au coin d'un mur… A l'issue de cette logorrhée, l'homme se jeta sur la pauvre femme et la roua de coups. Zea essaya de la protéger mais elle n'opposa qu'une faible résistance à la fureur démentielle du mastodonte. Tout devint flou, tout devint noir…
Quand la jeune fille reprit connaissance, le soleil dardait ses premiers rayons. Sa première réaction fut d'ouvrir la bouche pour appeler sa mère. Pas de réponse. Elle ouvrit les yeux. L'horrible réalité lui fit face. Son corps inanimé de gisait sur le sol, nu au milieu de ses vêtements déchirés. Une tache sombre formait un nimbe autour de sa tête. Du sang séché… Le danger s'était écarté, mais le monde était détruit. Sa mère était-elle morte ? Zea n'osait s'en assurer… Toute tremblante, elle se rapprocha du corps étalé d’Ayami et se roula en boule sur le sol maculé de sang. Quelques larmes roulèrent le long de ses joues puis, gagnée par la fatigue, l’épuisement, et son désir d’oublier, elle s’endormit. C’est ainsi que son frère la retrouva quelques heures plus tard. La tête enfouie dans un oreiller de sang séché, le visage abondant d'ecchymoses. La scène qui s’était déroulée précédemment dans l’appartement ne parvenait à égaler le pathétisme qu’elle offrait à elle seule dans ce triste tableau…

On porta Ayami à l'hôpital et Sora, poussé par la pitié et la tristesse, garda sa soeur chez elle. Zea resta silencieuse les deux jours qui suivirent, ses larmes inextinguibles traçaient leur sillage sur ses joues. Le troisième jour, elle demanda à voir sa mère et Sora lui répondit sèchement :
« - Vas-y, rien ne te retient ! Et ne remets plus jamais les pieds ici. Tu n'as même pas été capable de la protéger !
- Maman criait très fort… Toi tu ne l'as pas entendue… Ou alors… Comme tous les autres, tu as fait semblant de ne pas entendre… en te convaincant peut-être que ces cris venaient d'une autre femme…, répliqua-t-elle sur le ton amer du reproche. »
Sa réaction la surprit elle-même et son frère éclata en sanglots. Elle l'avait blessé. Ainsi, il y avait du vrai dans ses paroles… Une telle révélation la brisa. Et, c'est yeux baignés de larmes qu'ils s'échangèrent un dernier regard… Zea avait douze ans, Sora vingt et un.

Alors elle quitta sa famille. Son but était simple : ne plus vivre dans la misère et réussir à se faire une place sur cette planète. Elle y réussit car bien des années plus tard, la voici chef d'une "armée" autant redoutée qu'appréciée : la guilde des assassins et des espions.

- Autre... //

Arme(s): Elle a une préférence pour les armes blanches et possède d'ailleurs une belle dague. Evidemment, elle n'est pas non plus de l'âge préhistorique, donc a avec elle un blaster, au cas où...

Comment as tu connu ce RPG ? Par un top-site, top RPG Velusia

Oulala, a côté de cet présentation je sent la mienne ridicule... Bon et bien bienvenue tout de même et merci d'avoir choisit mon forum ^^